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Petite
bourgade bien sympa : la capitale, Port-Louis, qui compte environ
160.000 habitants. Pour le moment, elle est traversée par le
seul grand axe routier de l'île, ce qui crée de beaux
bouchons aux heures de pointe !
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Ce
n'est évidemment pas une ville richissime puisque le mauricien
moyen vit avec environ dix fois moins de revenus que nous. Mais elle a
su conserver un certain charme et ne pas donner cette impression de
misère omniprésente. Ici, le quartier commercial du port. |
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L'île
est aussi d'origine volcanique, mais nettement plus vieille que la
Réunion. Ici nous sommes au cratère de "Trou au Cerfs",
à Curepipe, qui nous donne une vue imprenable sur le relief de
l'île.
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Et
quel relief ! Un mélange de reliefs d'Islande et d'Afrique du
Sud, avec des montagnes bizarres issues d'on ne sait où. Mais c'est tout à fait agréable à regarder.
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C'est
la partie sud de l'île qui est la plus montagneuse, donc la plus
sauvage. Ici, le deuxième point culminant de l'île, avec
sa pierre en équilibre instable qui lui rajoute quelques
centimètres de plus...
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Et
ici, le point culminant : le Piton de la Petite Rivière Noire.
Sur la photo précédente comme sur celle-ci :
l'omniprésence de champs de canne à sucre sur
l'île, en premier plan. |
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Relief mauricien...
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Relief mauricien...
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Toujours
du relief. Là-bas au fond se trouve le rocher "Morne Brabant".
On raconte que les esclaves fugitifs avaient l'habitude de s'y cacher,
et le jour où l'ordre d'abolition de l'esclavage voulut leur
parvenir, ils eurent peur des personnes qu'ils voyaient arriver et
préfèrèrent se jeter du haut de la falaise...
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La
partie nord de l'île, ou centre, est inondée de canne
à sucre. On trouve aussi du café, du thé, des
bananes, parfois de la vanille, mais c'est la canne à sucre qui
prédomine largement. On trouve sur l'île quelques usines,
et des rhumeries avec dégustation à gogo.
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Champs de canne à sucre...
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Paysage sauvage du sud de l'île.
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Paysage sauvage.
Au milieu coule une longue cascade, sur plusieurs niveaux.
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Et
nous sommes à la fin de la saison des pluies (d'ailleurs, c'est
une sacrée douche qui nous a accueillis à l'île
Maurice !!). Voilà une rivière au charme singulier : sa
couleur boueuse.
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La cascade de Chamarel.
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Et
la cascade de Rochester. Le guide lui-même a fait la photo en
précisant qu'il ne l'avait jamais vue si... en forme !
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Unique en son genre : la terre aux sept couleurs !
Je cite : "Ce phénomène naturel est le produit
profondément décomposé et modelé par le
ravinement de basaltes. Le climat chaud et humide a favorisé la
décomposition du basalte à l'argile. L'hydrolyse
étant totale, les éléments solubles tels que
l'acide silicique et les cations sont lessivés, il reste sur
place une forte composition de fer et d'aluminium qui constituent un
sol ferralitique. Les sesquioxydes de fer ont une couleur anthracite et
rouge, alors que les sesquioxydes d'aluminium ont des couleurs
variant du bleu au bleu violacé ou au bleu vert".
Logique, non? (SOS géologue...) ! |
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Bon, revenons à un
langage compréhensible de tous... en fait c'est simple : on
trouve de partout des plages d'une beauté indescriptible, des
hotels prennent d'assaut tout le tour de l'île (nous, on
était plein nord près du Cap Malheureux). Il faisait,
contrairement à la Réunion, une chaleur humide
étouffante et les baignades ne se faisaient pas souvent prier...
La barrière de corail protégeant des gros poissons, on se
baignait en toute sécurité (attention aux oursins), on
avait pied longtemps, l'eau était turquoise, et naturellement,
bien chaude =) |
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| Plage... :-) |
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Plage... :-) |
